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Soapéra
CN D – Centre national de la danse
Tempo 76
CN D – Centre national de la danse
Gustavia
CN D – Centre national de la danse
Pudique acide
CN D – Centre national de la danse
Extasis
CN D – Centre national de la danse
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CN D – Centre national de la danse
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CN D – Centre national de la danse
E pour eux
CN D – Centre national de la danse
Chinoiserie
CN D – Centre national de la danse
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CN D – Centre national de la danse
Pavlova 3’23 »
CN D – Centre national de la danse
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CN D – Centre national de la danse
Pour Antigone
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CN D – Centre national de la danse
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Stop
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CN D – Centre national de la danse
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CN D – Centre national de la danse
Jean-Paul Montanari
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Dans tes cheveux
CN D – Centre national de la danse
Pour Antigone
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La rencontre
CN D – Centre national de la danse
A Mary Wigman Dance Evening
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Débords
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Histoire(s)
CN D – Centre national de la danse
Karine Saporta
CN D – Centre national de la danse
Les entretiens de la danse : Viola Farber
CN D – Centre national de la danse
twin paradox
CN D – Centre national de la danse
Uhreben Aufheben
CN D – Centre national de la danse
Ecran somnambule
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Incorporer
CN D – Centre national de la danse
Future memory
CN D – Centre national de la danse
Soapéra
CN D – Centre national de la danse
Black Lights
Mathilde Monnier
Incorporer
, Julien Contreau
Le travail chorégraphique mis en place interroge la mémoire corporelle et son érosion et modification à travers le temps.
2004-2009
de Olga de Soto
Création INCORPORER : 26 mars 2004 – Centre Pompidou, Paris
Création INCORPORER ce qui reste : 26 mars 2006 – Centre Chorégraphique National de Franche-Comté à Belfort, Festival La Belge Quinzaine, Belfort
Création INCORPORER ce qui reste ici au cœur : 23 mars 2007 – Biennale de Charleroi/Danses, La Raffinerie, Bruxelles
Création INCORPORER ce qui reste ici au dans mon cœur : 11 mars 2009 – Centre Pompidou, Paris
Avec Sylvain Prunenec, Olga de Soto, Edith Christoph et Florence Augendre
Le travail chorégraphique mis en place interroge la mémoire corporelle et son érosion et modification à travers le temps. Il consiste à explorer et à approfondir sur le plan conceptuel, gestuel, plastique et sonore, des pistes esquissées ou abandonnées durant le processus de création d’une œuvre précédente, Éclats mats mats (créé en 2001 et repris en 2005 au Centre Pompidou, à Paris), afin d’aller plus loin dans l’exploration de la matière et des états corporels, dans l’occupation de l’espace et le rapport au temps, mis en place durant la création de la pièce “mère”.
Le spectacle est composé de quatre chapitres, créés successivement, année après année, et rassemblés de manière progressive afin de former un tout se développant, se déployant au fil du temps. L’agencement chronologique des noms des quatre chapitres réalisés sert à déterminer le titre de l’ensemble, ainsi qu’à définir l’action développée dans chacun d’entre eux. Ces chapitres ne sont pas ce qu’ils semblent être, car même s’ils approchent de la forme du solo, ils pourraient tout autant être des duos, des trios ou des quatuors. Aucun chapitre n’est ce qu’il semble être. En choisissant la forme du solo, et en la détournant, la chorégraphe creuse dans la solitude qui était mise en scène dans le spectacle Éclats mats, creuse dans les traces.
Date de mise à jour 21 mars 2014
, Julien Contreau