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Extrait
Pour la troisième édition du festival « Dansons Maintenant ! » programmé du 31 janvier au 8 Février 2015 à Cotonou au Bénin, la Fondation Zinsou passe commande à Marcel Gbeffa d’une pièce chorégraphique sur le thème conjoint de la photographie et de la musique africaine des années 1950 à 1980.
Note d’intention :
Au cœur de cette pièce, la musique d’une époque. Celle des années soixante et soixante dix qui s’écoutait dans toute l’Afrique francophone. Musique d’une rage, emblématique de l’espoir des indépendances. Afrique ! Des débuts prometteurs et révolutionnaires, désireuse de t’affranchir, qu’es-tu devenue ? Déjà plus de 50 ans. Les choses ont-elles avancé, stagné ou empiré?
La joie des premiers instants laisse la place à la répétition ; l’infernale répétition des mêmes attitudes, mêmes grimaces, mêmes faux sourires. De coups d’Etat en présidences éternelles, de guerres ethniques en révoltes écrasées. Peuple d’Afrique, que deviens-tu ? Tu restes sur toi ? Où vas-tu ? Dans quelle routine t’enfermes-tu ? Tout se répète, indéfiniment.
En préambule à la pièce, Marcel Gbeffa improvise un solo de quelques minutes, dont est tiré cet extrait. « Il y a un peu de Vandekeybus chez Marcel Gbeffa, relève Patrick Acogny. Un engagement physique, sauvage, voire exalté chez ses danseurs. A la différence de ce dernier, il ne cherche pas l’exploration des limites, il n’est pas dans cette énergie aux limites du possible. Mais on le sent fasciné par la question de la violence et de sa folie, ainsi qu’aux limites auxquelles elles peuvent mener, c’est à dire à la mort », Le Journal « Dansons Maintenant ! », n°2, 1° Février 2015, p. 3.
Représentation le 31 janvier 2015, Théâtre de Verdure, Institut Français du Bénin, Cotonou.
Source : Compagnie Multicorps Marcel Gbeffa
Le Journal, quotidien d’information de l’évènement « Dansons Maintenant ! », n°2, 1° Février 2015
En savoir plus
Journal de l’Exposition African Records, Janvier – Mai 2015.
Le dépôt des archives vidéo de « Dansons Maintenant ! », appartenant à la Fondation Zinsou a été rendue possible grâce à l’Aide à la Recherche et au Patrimoine en Danse, du Centre National de la Danse, accordée en 2021 à Anne Décoret-Ahiha dans le cadre du projet « Consolidation du champ chorégraphique africain : focus sur le Bénin » ainsi que grâce à l’aimable autorisation des artistes.