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, Jean-François Duroure
Nous voulions mettre en scène les éléments de la dualité : jeux, jalousies, bagarre, amour… mais tous ces moments sur scène doivent être un état particulier avec la même concentration, trouver la raison même de chaque mouvement par rapport à l’autre…
de Mathilde Monnier et Jean-François Duroure
Création mars 1984 à New York
Danse Mathilde Monnier, Jean-François Duroure
Nous voulions mettre en scène les éléments de la dualité : jeux, jalousies, bagarre, amour… mais tous ces moments sur scène doivent être un état particulier avec la même concentration, trouver la raison même de chaque mouvement par rapport à l’autre et à soi-même, tout est déterminé par rapport à cet état. C’est un travail sur la concentration et sur la présence de deux personnes face à face, le duo. Alors, vient la danse. Nous avons travaillé avec un grand souci de la mise en scène, de la représentation, une distanciation constante de ce que nous mettons en jeu, de nous, de notre histoire. Nous avons réfléchi tout de suite sur les costumes que je vois plus comme des objets de la pièce. Nous voulions des costumes qui marquent le caractère asexué, mais parlent aussi du féminin et du masculin. La musique de Kurt Weill m’est apparue comme une évidence, elle a été la trame de la pièce. C’est aussi l’aspect comique et grave de la musique de Kurt Weill qui nous intéresse.
Mathilde Monnier
Date de mise à jour 10 octobre 2013
, Jean-François Duroure