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Soapéra
CN D – Centre national de la danse
Tempo 76
CN D – Centre national de la danse
Gustavia
CN D – Centre national de la danse
Pudique acide
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Extasis
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ex.e.r.ce
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E pour eux
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Chinoiserie
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Pavlova 3’23 »
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2008 vallée
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Pour Antigone
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Nuit
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Signé, signés
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Stop
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Videlilah
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Le jour de nuit
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Pudique acide / Extasis
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Jean-Paul Montanari
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Dans tes cheveux
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Pour Antigone
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La rencontre
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A Mary Wigman Dance Evening
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Débords
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Histoire(s)
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Karine Saporta
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Les entretiens de la danse : Viola Farber
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twin paradox
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Uhreben Aufheben
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Ecran somnambule
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Incorporer
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Future memory
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Soapéra
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Black Lights
Mathilde Monnier
Histoire(s)
Quelles sont les traces qui imprègnent encore la mémoire d’un public, bien longtemps après que se soit évanoui le spectacle dont il fut le témoin d’un soir ?
2004
de Olga de Soto
Création 14 mai 2004, Kunstenfestivaldesarts, Bruxelles
Personnes dans l’extrait (par ordre d’apparition) : Olga de Soto, Olivier Merlin (voix off), Vincent Druguet et Olga de Soto, puis projection (Micheline Hesse, Françoise Olivaux, Micheline Hesse, Frédéric Stern, Brigitte Evellin)
Quelles sont les traces qui imprègnent encore la mémoire d’un public, bien longtemps après que se soit évanoui le spectacle dont il fut le témoin d’un soir ? Olga de Soto, chorégraphe, part à la recherche des spectateurs présents, le 25 juin 1946 au Théâtre des Champs-Elysées à Paris pour la création du Jeune Homme et la Mort, œuvre mythique de Roland Petit, créé sur un argument de Jean Cocteau. Elle les interviewe. Leurs souvenirs et émotions ressurgissent : le spectacle renaît, à la lumière des regards qui hier l’avaient absorbé dans l’ombre. La chorégraphe en compose alors la subjective empreinte qu’elle renvoie vers les écrans d’un plateau de théâtre – son original écrin. (Claire Diez, Kunstenfestivaldesarts)
Date de mise à jour 21 mars 2014