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Souhaitez-vous tout de même le visionner ?
néo-fiction
Christian Rizzo , Sophie Laly
et pourquoi pas : « bodymakers », « falbalas », « bazaar », etc, etc… ?
Christian Rizzo
autant vouloir le bleu du ciel et m’en aller sur un âne
Christian Rizzo
de quoi tenir jusqu’à l’ombre
Christian Rizzo
je vais t’écrire
Christian Rizzo
miramar
Christian Rizzo
en son lieu
Christian Rizzo
une maison
Christian Rizzo
d’à côté
Christian Rizzo
le syndrome ian
Christian Rizzo
ad noctum
Christian Rizzo
d’après une histoire vraie
Christian Rizzo
sakınan göze çöp batar (c’est l’œil que tu protèges qui sera perforé)
Christian Rizzo
TTT : tourcoing-taipei-tokyo
l’association fragile
b.c, janvier 1545, fontainebleau
Christian Rizzo
comme crâne, comme culte.
Christian Rizzo
mon amour
Christian Rizzo
100% polyester, objet dansant n° (à définir)
Christian Rizzo
Magma
Christian Rizzo , Andrés Marin , Marie-Agnès Gillot
comme crâne, comme culte.
« Juillet 2002, invité par Rachid Ouramdane, je me penchais avec lui sur la figure du motard, solitaire sans moto, solo. Skull*cult en fut la réalisation pour et avec le jardin de la vierge au festival d’Avignon.
Janvier 2005, invité par Jean-Baptiste André, je décide avec lui de réinterroger skull*cult pour le même lieu, trois ans plus tard. Ce sera comme crâne, comme culte..
Si le souvenir d’une expérience que l’on pourrait confondre à tort avec une image persiste en nous comme inscription d’un temps passé, qu’en est-il de sa réactivation et de son interprétation par un autre être, dans un autre présent, une autre histoire… ? Que voyons-nous alors d’un corps qui ne se dévoile que caché, doublement filtré par l’histoire d’un autre et par le costume figure ?
Octobre 2016, à l’occasion des « Préludes à la saison 2016/2017 » d’ICI—CCN, je reviens sur ce solo, avec le désir de poser à nouveau un temps contemplatif et mystérieux, une enclave au milieu d’une époque chaotique et d’un flux de surenchère imagé.
Comme crâne, comme culte. se joue des traces pour en déposer de nouvelles, telles les pensées (prières, visions) accumulées dans l’espace vide, cristallisé par ses possibles. Empreint de souvenirs et de douce nostalgie, le solo propose un temps d’observation, une écriture précise et découpée dans un environnement suspendu. Plus que jamais l’enjeu de la présence, du détail et de l’intelligence physique à s’auto-définir sont pour moi une pensée-faire mise en partage. »
— Christian Rizzo – mai 2016