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néo-fiction
Christian Rizzo
et pourquoi pas : « bodymakers », « falbalas », « bazaar », etc, etc… ?
Christian Rizzo
autant vouloir le bleu du ciel et m’en aller sur un âne
Christian Rizzo
de quoi tenir jusqu’à l’ombre
Christian Rizzo
je vais t’écrire
Christian Rizzo
miramar
Christian Rizzo
en son lieu
Christian Rizzo
une maison
Christian Rizzo
d’à côté
Christian Rizzo
le syndrome ian
Christian Rizzo
ad noctum
Christian Rizzo
d’après une histoire vraie
Christian Rizzo
sakınan göze çöp batar (c’est l’œil que tu protèges qui sera perforé)
Christian Rizzo
TTT : tourcoing-taipei-tokyo
l’association fragile
b.c, janvier 1545, fontainebleau
Christian Rizzo
comme crâne, comme culte.
Christian Rizzo
mon amour
Christian Rizzo
100% polyester, objet dansant n° (à définir)
Christian Rizzo
Magma
Christian Rizzo , Andrés Marin , Marie-Agnès Gillot
b.c, janvier 1545, fontainebleau
christian rizzo
Dans « b.c, janvier 1545, fontainebleau. », Christian Rizzo réunit à nouveau ses fidèles complices, Caty Olive pour lʼenvironnement lumière et Gerome Nox pour les paysages sonores, autour dʼun projet singulier. Le chorégraphe retrouve son geste de modéliste pour créer un univers particulier, taillé, configuré sur mesure pour Julie Guibert, interprète rencontrée au Ballet de lʼOpéra national de Lyon lorsque Christian Rizzo y a créé ni fleurs, ni ford mustang en 2004.
La danseuse possède une expérience rare. Passée du Ballet du Nord au Ballet Cullberg où elle a travaillé plusieurs années, et plus récemment la compagnie Russell Maliphant ou Yves-Noël Genod, elle a traversé lʼunivers de différents chorégraphes tels que Maguy Marin, Trisha Brown, William Forsythe, Mats Ek ou Philippe Decouflé. Fasciné par son «incroyable intelligence du plateau», inspiré par sa personnalité même, Christian Rizzo a souhaité poursuivre la rencontre à travers ce solo où il sʼinterroge : «quel regard porter sur une femme seule en scène, exclue du reste de la communauté ?».
Et dʼimaginer une danse projetée dans lʼespace, nocturne et découpée par la lumière pour «creuser la notion de lenteur, travailler sur la dimension calligraphique de lʼécriture». En filigrane apparaît un questionnement dévoilé par des images énigmatiques sur les liens entre mémoire et vision, sur la dimension rituelle de la représentation, et aussi sur ce que signifie écrire pour autrui.
Irène Filiberti