Ce contenu contient des scènes pouvant choquer un public non averti.
Souhaitez-vous tout de même le visionner ?
Bribes urbaines
Awoulath Alougbin
La Juju
Julie Dossavi
Africaman original
Qudus Onikeku
Interview d’Antoine Tempé
Fondation Zinsou
Le Mystère des pas, la fascination du jeu
Awoulath Alougbin
Sans regard
Marcel Gbeffa
Marcel, Ici et maintenant
Marceline Lartigue
Solo Prière
Germaine Acogny
Root’in
Marcel Gbeffa
Foliphonie mobile
Rachelle Agbossou
www.smtp.af
Andréya Ouamba
Eclipse
Abdoulaye Trésor Konaté
Interview de Richard Adossou
Richard Adossou
Interview de Germaine Acogny
Germaine Acogny
Interview de Julie Dossavi
Julie Dossavi
Interview de Qudus Onikeku
Qudus Onikeku
Interview de Seydou Boro
Seydou Boro
Interview d’Awoulath Alougbin
Awoulath Alougbin
Interview de Patrick Acogny
Patrick Acogny
Interview d’Andreya Ouamba
Andréya Ouamba
Interview de Marcel Gbeffa
Marcel Gbeffa
Interview d'Awoulath Alougbin
Extrait
A l’occasion de l’événement « Dansons Maintenant! » qu’elle a organisé en 2011, 2012 et 2015, à Cotonou au Bénin, la Fondation Zinsou a réalisé des interviews filmées des artistes et chorégraphes invités.
Programmée lors de la seconde édition, en 2012, avec sa pièce Bribes urbaines, la danseuse et chorégraphe béninoise Awoulath Alougbin raconte dans cet extrait d’interview sa construction en tant qu’artiste chorégraphique, dans les années 2000, alors que la danse contemporaine émerge tout juste au Bénin. Dans le second extrait, elle établit une similitude entre danse contemporaine et danse rituelle, par la capacité des interprètes et officiants à « emmener ailleurs ».
Interview réalisée par Aurélie Lecomte, le 14 Août 2012, à Cotonou.
Filmé par Stéphane Agbessi-Loko.
Le dépôt des archives vidéo de « Dansons Maintenant ! », appartenant à la Fondation Zinsou a été rendue possible grâce à l’Aide à la Recherche et au Patrimoine en Danse, du Centre National de la Danse, accordée en 2021 à Anne Décoret-Ahiha dans le cadre du projet « Consolidation du champ chorégraphique africain : focus sur le Bénin » ainsi que grâce à l’aimable autorisation des artistes.