Ce contenu contient des scènes pouvant choquer un public non averti.
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No reality now, la danse et son double
Vincent Dupont , Charles Ayats
ART.13 [Reportage]
Phia Ménard
ART.13
Phia Ménard
Contes Immoraux – Partie 1 : Maison Mère
Phia Ménard
Voice Noise
Jan Martens
any attempt will end in crushed bodies and shattered bones
Jan Martens
Elisabeth gets her way
Jan Martens
The dog days are over
Jan Martens
Man Made
Jan Martens
Period piece
Jan Martens
Hu(r)mano
Marco Da Silva Ferreira
BROTHER
Marco Da Silva Ferreira
førm Inførms
Marco Da Silva Ferreira
Fantaisies
Béatrice Massin
CARCASS
Marco Da Silva Ferreira
Cellule
Nach
Nulle part est un endroit
Nach
Elles disent
Nach
Tumulus
François Chaignaud , Geoffroy Jourdain
Radio Vinci Park Reloaded
François Chaignaud
Symphonia harmoniæ cælestium revelationum (version 11/69)
François Chaignaud
Думи мої – Dumy Moyi
François Chaignaud
Hippopotomonstro – sesquippedaliophobie*
Collectif Ès
Fiasco
Collectif Ès
Toi moi, Tituba…
Dorothée Munyaneza
Ma
Lia Rodrigues
Folia
Lia Rodrigues
Incarnat
Lia Rodrigues
Contre ceux qui ont le goût difficile
Lia Rodrigues
Pororoca
Lia Rodrigues
Hu(r)mano
Inspiré du vocabulaire de la danse urbaine, le chorégraphe expérimente la tension entre le « moi humain » et le « nous urbain ».
Membre actif de la jeune scène portugaise, Marco da Silva Ferreira a travaillé avec des artistes tels qu’André Mesquita, Hofesh Schechter, Sylvia Rijmer, Tiago Guedes, Hugo Pontes, avant de se lancer lui-même dans l’écriture chorégraphique. Hu(r)mano, sixième œuvre de son parcours, lui vaut une nomination au titre de meilleur jeune créateur portugais en 2015. Inspiré du vocabulaire de la danse urbaine, il y expérimente la tension entre le « moi humain » et le « nous urbain ». Le postulat de départ est simple : nous sommes tous enfermés en nous-mêmes, possesseurs d’un seul corps à partir duquel nous produisons de multiples compositions. Quatre de ces corps sont mis en présence, forts et confiants en leur qualité intrinsèque d’individus. Se construit peu à peu, par l’exacerbation des postures et des regards, dans la boucle répétitive d’une musique dont on ne sait si elle est industrielle ou tribale, une relation collective d’une beauté surprenante. Balancé entre aliénation et connexion, le quatuor cède sans artifices aux étapes de sa transformation.
Source : www.atelierdeparis.org