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No reality now, la danse et son double
Vincent Dupont , Charles Ayats
ART.13 [Reportage]
Phia Ménard
ART.13
Phia Ménard
Contes Immoraux – Partie 1 : Maison Mère
Phia Ménard
Voice Noise
Jan Martens
any attempt will end in crushed bodies and shattered bones
Jan Martens
Elisabeth gets her way
Jan Martens
The dog days are over
Jan Martens
Man Made
Jan Martens
Period piece
Jan Martens
Hu(r)mano
Marco Da Silva Ferreira
BROTHER
Marco Da Silva Ferreira
førm Inførms
Marco Da Silva Ferreira
Fantaisies
Béatrice Massin
CARCASS
Marco Da Silva Ferreira
Cellule
Nach
Nulle part est un endroit
Nach
Elles disent
Nach
Tumulus
François Chaignaud , Geoffroy Jourdain
Radio Vinci Park Reloaded
François Chaignaud
Symphonia harmoniæ cælestium revelationum (version 11/69)
François Chaignaud
Думи мої – Dumy Moyi
François Chaignaud
Hippopotomonstro – sesquippedaliophobie*
Collectif Ès
Fiasco
Collectif Ès
Toi moi, Tituba…
Dorothée Munyaneza
Ma
Lia Rodrigues
Folia
Lia Rodrigues
Incarnat
Lia Rodrigues
Contre ceux qui ont le goût difficile
Lia Rodrigues
Pororoca
Lia Rodrigues
CARCASS
Dans CARCASS, Marco da Silva Ferreira utilise la danse comme outil de recherche sur la communauté, la construction de l’identité collective, la mémoire et la cristallisation culturelle. La chorégraphie, initialement basée sur un jeu de jambes sauté comme agitateur et moteur accélérateur, dessine progressivement un corps vibrant, rebelle et carnavalesque.
Les 10 interprètes forment un collectif qui recherche leur identité collective dans un flux physique, intuitif et sans prétention sur le corps, la danse et la culture. Ils commencent par un jeu de jambes (footwork) qui leur est familier, venant du clubbing, des batailles de balles, de cyphers et du studio pour aborder des danses folkloriques standardisées et immuables liées à leur mémoire/héritage. Ces danses du passé se sont cristallisées et n’ont pu intégrer de nouvelles définitions de corps, de groupes et de communautés considérés comme mineurs. Il fallait rompre avec le passé autoritaire, totalitaire et paternaliste. Dans CARCASS, un exercice qui intègre le passé et le présent est proposé. Réflexion sur : Comment décidez-vous d’oublier et de créer de la mémoire ? Quel est le rôle des identités individuelles dans la construction d’une communauté ? Quel est le moteur d’une identité ? Quel monde traverse le corps individuel et collectif ? Ou plutôt, quels corps traversent le monde ? Les marches, complexes mais réalisées avec de simples baskets, apporteront non seulement du son à la scène, mais aussi des échanges entre énergies cinétiques, thermiques et lumineuses. Les sons physiques sont accompagnés d’une batterie jouée par João Pais Filipe et la musique électronique de Luis Pestana. Ces éléments, interprétés en live, constituent une bande-son accélérée en liens référence de musique traditionnelle (p.e. fanfarre, marche), de la musique postmodernes et de la musique clubbing (Techno/trance/dub).