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Quintette cercle
ballet sommaire, saltatoire et chantant
Spectacle sous-titré « ballet sommaire, saltatoire et chantant », Quintette cercle est nourri des figures et de l’étrangeté de Héâtre-Elévision, version vivante d’une danse pensée pour l’écran de télévision.
Spectacle sous-titré « ballet sommaire, saltatoire et chantant », Quintette cercle est nourri des figures et de l’étrangeté de Héâtre-Elévision, version vivante d’une danse pensée pour l’écran de télévision. Cette pièce chorégraphique travaille, de manière égale, le mouvement et la voix. Le corps est un instrument vibratoire duquel jaillissent des mouvements grimaçants et gesticulants ainsi que des sons et onomatopées construits à partir de la musique de Galina Ustvolskaya. Tout y est histoire de composition et de puissance rythmiques dans des espaces contraints. Dans un premier temps, l’espace vide et sombre du plateau focalise le regard du spectateur vers une petite boîte à trois murs, au fond du plateau, où s’entassent les corps. Puis l’espace se dilate dans une grande cage métallique ajourée, descendant des cintres, où les danseurs font et défont un cercle-chantant autour d’une ampoule centrale. L’extrait capté à Vienne, en musique live, présente ce cercle chantant qui, sans cesse, se construit et de déconstruit pour faire émerger des individualités gesticulantes envahies par la partition de Galina Ustvolskaya. La lumière, créée par Yves Godin, participe de la puissance rythmique : la densité lumineuse, sans cesse alternée, défigure plus encore les mises en jeu construites et donne au spectateur, par l’ombre et la sous-exposition, la possibilité d’un espace imaginaire.
Source : Boris Charmatz
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