Ce contenu contient des scènes pouvant choquer un public non averti.
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Zéphyr
Mourad Merzouki
Aunis
Jacques Garnier
Möbius
Maison de la danse
Danse et arts plastiques
Maison de la danse
100% polyester, objet dansant n° (à définir)
Christian Rizzo
Nos Solitudes
Julie Nioche
Who says I have to dance in a theater… Anna Halprin
Anna Halprin
Hoppla !
Anne Teresa De Keersmaeker
La filiation « américaine » de la danse moderne. [1960-1990] Postmodern dance et Black dance, des postures artistiques engagées dans leurs temps
Céline Roux
Dance
Lucinda Childs
La forêt ébouriffée
Christian et François Ben Aïm
Nos Solitudes
reprise 2020
Prix du jury 2010 – Syndicat professionnel de la critique de théâtre, musique et danse
Nos solitudes est une oeuvre imaginée autour d’un corps suspendu. Dans un rapport nouveau à l’espace et à la gravité, ce corps fait l’expérience de la solitude grâce à ce référentiel inhabituel. La danse déborde vers une métaphore scénique de nos attaches, nos liens et nos appuis.
« J’ai cru chuter à jamais
suspendue à quelques fils,
j’ai perdu le sens de la gravité
lâchée de proche en proche
j’ai retrouvé une terre vide
séparée en deux parties de moi-même
j’en garde toujours une dans l’ombre
je suis restée trop longtemps la poitrine ouverte, le cœur gardé par d’autres
depuis je me rassemble dans mes solitudes. »
Julie Nioche
Extrait de presse
« Jusqu’à Nos solitudes, on pouvait penser que notre corps se soldait dans un poids, ayant valeur de donnée constante irréfutable. Certes. Et que donc, une fois suspendu, si le cas s’en présentait, ce corps à poids constant n’avait plus raison ni moyen de bouger. Or Julie Nioche se suspend. Et ne cesse de se mouvoir. Par ses propres impulsions, subtilement modulées, maîtrisées, elle génère les énergies nécessaires, en somme supplémentaires au poids, qui vont lui permettre de se hisser, de se hausser, d’évoluer, se mouvoir, se lover, baigner, léviter, onduler, s’enfoncer, s’éployer... »
Gérard Mayen, Mouvement, février 2010
Des dessins de création de Julie Nioche ont été publiés dans « 32 grammes de pensée, essai sur l’imagination graphique » de Nicole Marchand-Zañartu et Jean Lauxerois, Médiapop éditions 2020