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Le Festin
Claude Brumachon
Folie
Claude Brumachon
Silence
Claude Brumachon
Icare
Claude Brumachon
Folie-repetition
Claude Brumachon
D’Indicibles Violences
Claude Brumachon
Phobos
Claude Brumachon
Ellipse
Claude Brumachon
Embrasés
Claude Brumachon
Les Coquelicots Sauvages
Claude Brumachon
Texane
Claude Brumachon
Histoire d’Argan le Visionnaire
Claude Brumachon
Histoire d’Argan le Visionnaire
Claude Brumachon
Ashbury St.
Claude Brumachon
Phobos
Claude Brumachon
Folie
Claude Brumachon
Texane
Claude Brumachon
Absalon l’Insurgé
Claude Brumachon
Le Festin
Claude Brumachon
Folie
Claude Brumachon
Le Témoin
Claude Brumachon
Phobos
Claude Brumachon
La Fulgurance du Vivant
Claude Brumachon
La Fulgurance du Vivant
Claude Brumachon
Phobos
Claude Brumachon
Le Témoin
Claude Brumachon
Le Manoir
Claude Brumachon
Fragments d’Olympe
Claude Brumachon
Fragments d’Olympe
Claude Brumachon
Le Manoir
Claude Brumachon
La Suite Logique des Choses
Claude Brumachon
Légendaires
Claude Brumachon
Légendaires
Claude Brumachon
La Suite Logique des Choses
Claude Brumachon
Légendaires
Claude Brumachon
Mutant-teaser
Claude Brumachon
Le Festin
Se déroulant par phases rapides en des tableaux successifs qui s’enchevêtrent, Le Festin interroge les mécanismes de notre société de consommation « qui engloutit tout » et ce quotidien « fatal » et « répétitif » auquel les hommes se soumettent.
Autour d’une grande table, les « spectateurs convives » sont invités à prendre place au plus près de la danse. « Une danse à l’endroit et à l’envers, faite et refaite, écrite et réécrite » nous dit Claude Brumachon, qui a cherché dans ce spectacle à « immerger le public au cœur de la matière », à expérimenter avec lui une proximité confinant à la promiscuité. « Etre avec la peau, sous la peau et sentir la respiration, le souffle, l’haleine ! Sentir (…) la qualité du mouvement qui fuse, avec dans les oreilles l’onde sonore de l’écho du geste qui s’enfuit. »
Se déroulant par phases rapides en des tableaux successifs qui s’enchevêtrent, Le Festin interroge les mécanismes de notre société de consommation « qui engloutit tout » et ce quotidien « fatal » et « répétitif » auquel les hommes se soumettent.
Dans ce dîner où le menu est vivant, Claude Brumachon livre au public les danseurs « à l’état de choses », de « marchandises prêtes à être consommées »
« La table est servie et desservie. Mon plat : mon danseur. Les hôtes qui n’ont à manger que l’énergie brute d’un artiste en pleine action. L’action du don de soi, l’offrande de sa vie, de son corps, en une multitude d’instants disséqués, mélangés. »
Source : Claude Brumachon
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