Ce contenu contient des scènes pouvant choquer un public non averti.
Souhaitez-vous tout de même le visionner ?
L’âme d’un fou
Merveilles Gall Toutou
Vivre riche
Kobri Pascal Koffi
6-9
Christine Moukendi Misenga
WOYO
Auguste Ouédraogo , Daouda Keita , Alou dit ZOL Cissé , Aguibou Bougobali Sanou , Mascha Tielemans , Christophe Chéleux , Hardo Papa Salif Ka , Abdul (b-boy Abdanger) Muyingo Kinyenya
Haneyed Ta Koune – Tinbuktu
Lassina Kone
Au nom du refus du courage et de la révolte
Djibril Ouattara
Expérience sans titre, Garage 1
Lassina Kone
CONTENU VIDE (teaser)
Lassina Kone
The path / Le trajet
Makan Gaoussou Coulibaly , Assetou Doumbia , Jeanne Loïc Ndzesse
L’eau de l’arbre
Aminata Diarrassouba
Golokoka
Elvis Elasu
Haya Tchahanta
Ibrahim William Diarrassouba , Ismaila Traoré
NI Bê Kô / Au-delà de
Joseph Kodjo Adando , Farage Barka , Frank Mugisha
Le lien
Moustapha Konate , Fidélia Nehoua
Révélation
Bienvenue Bazié
POUBELLE
Nabi Youssouf Bangoura
2175
Mohamed Samassekou , Faïssal Bidiga
Le coin récréatif
Linda Amouzougan , Moustapha Bassirou Sine
Bienvenue au Mali
Assadeck Ag Almoubareck
First Step
William Adja , Horace Yehouenou , Thomas Attissougbe
Wakati Koun Kourouni
Moustapha Konate , Moussa Dabo
La source
Christopher Diazou
Sans titre 3 – Containers
Lassina Kone
Make up
Dieynaba Ndoye
SOWOKO
Wendinboudé Tamar Ouédraogo
D’une rue de Bobo-Dioulasso
Lassina Kone
Usé
Rachel Agbeti
Usé
Rachel Agbeti
Au delà des barrières
Pouye Ngagne , Ngagne Pouye
Moov
Nourdine Yahaya Salifou Mahamane
La vie et la mort
Youssouf Diarra
Climat 7000
Giovanni Dehoue
Rétroviseur
Doudou Gaye
La voix des ombres
Sali Kamate
Fragments d’Ordre
Mohamed Bamba
Au marché
Babatoundé Félix Atindehou
D’une rue de Bamako
Lassina Kone
D’une rue de Bamako
Lassina Kone
La vie et la mort
La vie et la mort, solo de Youssouf Diarra.
Dans cette création chorégraphique, j’explore le cycle perpétuel de la vie et de la mort, deux forces indissociables qui façonnent notre existence. La danse devient ici un moyen d’interroger les multiples facettes de cette dualité : la naissance et la croissance, la déchéance et la disparition, et tout ce qui se trouve entre ces deux pôles.
À travers un langage corporel sensible et nuancé, les mouvements du danseur évoque le souffle de la vie qui s’installe, les rythmes et les pulsations qui l’animent, mais aussi les silences, les pauses et les effondrements qui annoncent la fin. Chaque geste incarne une tension entre la vitalité et l’épuisement, la force et la fragilité. Le corps est tantôt élan, tantôt chute, tantôt ancré dans la terre, tantôt aspiré vers l’invisible.
Cette œuvre cherche aussi à interroger notre rapport à la mort dans une société qui la refoule, qui la cache. Comment accepter cette réalité inévitable, l’apprivoiser ? La mort est-elle une fin ou un passage ? En convoquant des récits universels et intimes, je m’inspire de traditions où la mort est célébrée comme un retour aux sources, où la fin d’une vie est vue comme une transformation plutôt que comme une perte.
Cette création a été faite dans le cadre de la formation « Corps pour XXIIe siècle – Acte III » de Don Sen Folo.
La vie et la mort, solo de Youssouf Diarra.
Dans cette création chorégraphique, j’explore le cycle perpétuel de la vie et de la mort, deux forces indissociables qui façonnent notre existence. La danse devient ici un moyen d’interroger les multiples facettes de cette dualité : la naissance et la croissance, la déchéance et la disparition, et tout ce qui se trouve entre ces deux pôles.
À travers un langage corporel sensible et nuancé, les mouvements du danseur évoque le souffle de la vie qui s’installe, les rythmes et les pulsations qui l’animent, mais aussi les silences, les pauses et les effondrements qui annoncent la fin. Chaque geste incarne une tension entre la vitalité et l’épuisement, la force et la fragilité. Le corps est tantôt élan, tantôt chute, tantôt ancré dans la terre, tantôt aspiré vers l’invisible.
Cette œuvre cherche aussi à interroger notre rapport à la mort dans une société qui la refoule, qui la cache. Comment accepter cette réalité inévitable, l’apprivoiser ? La mort est-elle une fin ou un passage ? En convoquant des récits universels et intimes, je m’inspire de traditions où la mort est célébrée comme un retour aux sources, où la fin d’une vie est vue comme une transformation plutôt que comme une perte.
Cette création a été faite dans le cadre de la formation « Corps pour XXIIe siècle – Acte III » de Don Sen Folo.