Ce contenu contient des scènes pouvant choquer un public non averti.
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La IXème symphonie
Maurice Béjart
ANA
Régine Chopinot
Casse-Noisette
Lev Ivanov , Vassili Vainonen
Hors jeux
Iffra Dia
aSH
Aurélien Bory , Shantala Shivalingappa
Terpsichore
Béatrice Massin
Un nioc de paradis
Dominique Hervieu , José Montalvo
Pixel
Mourad Merzouki
Water Study, extrait de Sanctum [transmission 2022]
Alwin Nikolais
Rave Lucid
Brandon Miel Masele , Laura Nala Defretin
La Minute du spectateur (2019) : Casse-Noisette
Marius Petipa
Paso Doble
Josef Nadj
Im Bade wannen (1992)
Susanne Linke
Poufs aux sentiments
Réalisation Centre national de la danse
La danse serpentine
Loïe Fuller
Sounddance
Merce Cunningham
Roof Piece
Trisha Brown
Roof and fire piece
Trisha Brown
Adieu et merci
Latifa Laâbissi
May B (2016)
Maguy Marin
Cour d’honneur
Jérôme Bel
Revelations
Alvin Ailey
Cendrillon
Rudolf Noureev
Cendrillon
Maguy Marin
Cendrillon
Thierry Malandain
Múa
Emmanuelle Huynh
Une hypothèse de réinterprétation
Rita Quaglia
Le Sacre du Printemps
Vaslav Nijinski
Le P’tit Bal
Philippe Decouflé
Rosas danst Rosas
Anne Teresa De Keersmaeker
KOK
Régine Chopinot
Le Sacre du Printemps (2007)
Xavier Le Roy
One Flat Thing, reproduced
William Forsythe
So Schnell
Dominique Bagouet
Trois regards intérieurs
Odile Duboc
Trois regards intérieurs
Adaptant pour l’image « Sept jours, sept villes », une intervention in situ d’Odile Duboc dans les villes du l’est de la France, Harold Vasselin pose sa caméra devant le spectacle de la rue délicatement transformé par la chorégraphe.
Trois plans fixes. Trois lieux – un carrefour de Sochaux, un parc de Besançon, une rue piétonne à Montbéliard – traversés par la circulation automobile, les promeneurs et les passants. Parfois, insensiblement, la population se fige, des gestes quotidiens se font doucement écho, des attitudes riment et se répondent en canon. Un ordre sous-jacent aux choses prend forme et se défait aussitôt.
Adaptant pour l’image « Sept jours, sept villes », une intervention in situ d’Odile Duboc dans les villes du l’est de la France, Harold Vasselin pose sa caméra devant le spectacle de la rue délicatement transformé par la chorégraphe. Le cadre immobile devient le recueil d’actions infimes que la chorégraphe tente de déposer dans le paysage urbain avec la subtilité du hasard. Partis pris cinématographique et chorégraphique se répondent et définissent ensemble une sorte de nouvelle objectivité. Un document essentiel pour appréhender la démarche d’Odile Duboc et les savantes compositions dansées qu’elle déploie ensuite sur scène. Un retour aux origines de son trajet chorégraphique, qui débuta à la fin des années 70 dans les rues d’Aix-en-Provence.
Source : Patrick Bossatti