Ce contenu contient des scènes pouvant choquer un public non averti.
Souhaitez-vous tout de même le visionner ?
Floréal
Thierry De Mey
Pièce de gestes
Thierry De Mey
Tippeke
Thierry De Mey
Dom Svobode
Iztok Kovač
Musique de tables
Thierry De Mey
From Inside – Sicilia, Vie di Gibellina
Thierry De Mey
Top Shot
Anne Teresa De Keersmaeker
Rémanences
Thierry De Mey
Rosas danst Rosas
Anne Teresa De Keersmaeker
21 études à danser
Michèle Anne De Mey
Light Music
Thierry De Mey
One Flat Thing, reproduced
William Forsythe
From Inside – Kinshasa, ville en mouvement
Thierry De Mey
Love Sonnets
Michèle Anne De Mey
Fase
Anne Teresa De Keersmaeker
Prélude à la mer
Anne Teresa De Keersmaeker
One Flat Thing, reproduced
William Forsythe
Ma mère l’Oye
Thierry De Mey
Barbe Bleue
Thierry De Mey
Ma mère l’Oye
Thierry De Mey
Ma mère l’Oye
Thierry De Mey
Ma mère l'Oye
Œuvre cinématographique féerique à l’onirisme enveloppant, Ma mère l’Oye met en scène près d’une cinquantaine de danseurs et chorégraphes dans l’univers fantasmatique des forêts de Bruxelles et de Salzbourg.
À l’origine, fut une commande de l’opéra de Rouen. La figure imposée, le champ d’action imparti ; traduire en images l’univers des contes de Ma Mère l’Oye de Charles Perrault. Pour Thierry De Mey, l’expérience déboucha sur une découverte insoupçonnée de l’univers de Maurice Ravel. Orfèvre du timbre, ciseleur dit impressionniste mais d’une rigueur infaillible. Travailler dans son sillon, fatiguer les chemins empruntés par ce dernier relevait de l’expérience sensorielle. Prendre la mesure de la luxuriance absolue de l’univers du compositeur.
À l’arrivée, une partition filmique pour orchestre, ample et aérée, déployée tantôt sous forme de diptyque, tantôt de triptyque vidéo. Œuvre cinématographique féerique à l’onirisme enveloppant, Ma mère l’Oye met en scène près d’une cinquantaine de danseurs et chorégraphes dans l’univers fantasmatique des forêts de Bruxelles et de Salzbourg. Tous y interprètent de façon sensible et inattendue une créature mythologique, un personnage de conte, un avatar personnel où l’indicible individuel s’offre plus aisément à la caméra.
Source : Charleroi /danses