Ce contenu contient des scènes pouvant choquer un public non averti.
Souhaitez-vous tout de même le visionner ?
Les gestes de la danse : Carolyn Carlson
Carolyn Carlson
Les gestes de la danse : Tatiana Julien
Tatiana Julien
Les gestes de la danse : José Montalvo
José Montalvo
Les gestes de la danse : Jann Gallois
Jann Gallois
Les gestes de la danse : Abou Lagraa
Abou Lagraa
Les gestes de la danse : Noé Soulier
Noé Soulier
Les gestes de la danse : Michele Noiret
Michèle Noiret
Les gestes de la danse : Olivier Dubois
Olivier Dubois
Les gestes de la danse : Michele Noiret
À travers ces différents épisodes, la série Les gestes de la danse invite des chorégraphes habitués de Chaillot à interroger le geste de leur choix.
Avec Carolyn Carlson, José Montalvo, Tatiana Julien, Jann Gallois, Noé Soulier, Abou Lagraa, Michèle Noiret et Olivier Dubois.
Chacun fait un nombre infini de gestes dans le quotidien. Comment ce geste peut-il devenir le prolongement d’un sentiment, d’une expression ? Comment les chorégraphes, travailleurs du corps et metteurs en scène du mouvement, s’approprient ces gestes pour en faire des phrases puis des spectacles. Un geste peut suspendre le temps comme faire vibrer une émotion. Un geste peut être percutant, saisissant, lent ou rapide. Un geste peut suggérer ou faire référence.À travers la série Les gestes de la danse, Chaillot invite des chorégraphes de toutes sphères à choisir un geste et à nous raconter leurs propres histoires. Sauter, suspendre, saisir, se métamorphoser, trembler, chuter. Chaillot et les chorégraphes vous invitent au pays des gestes de la danse et de ses dimensions affectives, là où résident l’expressivité du geste humain.
« Bienvenue dans votre guide de survie au 21e siècle ! » C’est par ces mots que s’ouvre ce saisissant traité du désastre, concocté par Michèle Noiret avec le concours de David Drouard. Progressivement assaillis de toutes parts, ses cinq personnages tentent de résister au feu, à la pollution ou à la violence qui menacent une heure durant de les anéantir. Le chaos s’incarne au plateau dans une scénographie aussi simple que suggestive, grâce à de grands cartons déchiquetés peu à peu et aux vidéos en très grand format environnant les danseurs. Les mouvements des corps disent la résistance, le désir de fuite ou l’espoir d’un monde meilleur. Ils rendent sensible la pensée de la chorégraphe,qui veut « interroger notre société en mutation perpétuelle », dans un dialogue polyphonique entre danse et cinéma.
Source : ISABELLE CALABRE
– Cette création a bénéficié du dispositif la Fabrique Chaillot.