Sacre #2 [transmission 2020]

Extrait remonté par le groupe Format, coordinatrice Sophie Gérard, dans le cadre de Danse en amateur et répertoire (2019/2020). Transmission par Roméo Agid et Clarisse Chanel, interprètes à la création, Sophie Jacotot, assistante de la chorégraphe 

Présenté le 24 octobre 2020, Chaillot – Théâtre national de la Danse. 

L’œuvre à la création 

Sacre #2, d’après Le Sacre du printemps de Vaslav Nijinski (1913) 

Création le 13 mars 2014 au Manège – Scène nationale à Reims 

Chorégraphie : Dominique Brun 

Pièce pour trente-sept interprètes :  Julie Salgues (l’élue) et Caroline Baudouin, Marine Beelen, Anne Bogard, Garance Bréhaudat, Lou Cantor, Clarisse Chanel, Sophie Gérard, Anne Laurent, Anne Lenglet, Marie Mangin, Maud Marquet, Emma Noël, Marie Orts, Laurie Peschier-Pimont, Coline Periano, Maelys Perlot, Maud Pizon, Mathilde Rance, Margot Robinet, Enora Rivière, Marcela Santander-Corvalan, Lina Schlageter (les femmes) et Roméo Agid, Matthieu Bajolet, Fernando Cabral, Loïc Faquet, Miguel Garcia Llorens, Maxime Guillon-Roi-Sans-Sac, Corentin 

Le Flohic, Johann Nöhles, Édouard Pelleray, Sylvain Prunenec, Jonathan Schatz, Pierre Tedeschi, Vincent Weber, Alexis Zelis (les hommes) 

Musique extraits du Sacre du printemps d’Igor Stravinsky 

Durée originale : 30 minutes 

Le groupe 

Format (Ucel, Auvergne-Rhône-Alpes) 

Le groupe de danseurs amateurs du programme Format s’est formé en 2011, et il est aujourd’hui constitué d’une vingtaine de personnes. Chaque année le groupe s’engage dans une démarche de création durant plusieurs mois, à partir de temps de transmission et de découverte de la culture chorégraphique. En 2016, le groupe a monté la pièce We can be heroes de Groupenfonction ; depuis, une création amateur encadrée par des artistes professionnels est mise en chantier chaque année. En 2019, le groupe a participé à la  création de Waving, danse chorale pour 60 participants. 

Le projet 

Œuvre majeure de la modernité chorégraphique, Le Sacre du printemps de Vaslav Nijinski a connu de nombreuses relectures tout au long du XXe siècle. Sur les accords sauvages de la composition de Stravinsky, Nijinski a chorégraphié un rituel de groupe aux rythmes entêtants. À partir des traces qui ont été conservées – photographies, croquis, notations Laban – Dominique Brun a mené un 

travail de recherche sur le geste et le contexte de création de la pièce, s’attachant à restituer la dimension collective et l’aspect novateur de la chorégraphie de 1913.