Numeridanse is available in English.
Would you like to switch language?
Attention, contenu sensible.
Ce contenu contient des scènes pouvant choquer un public non averti.
Souhaitez-vous tout de même le visionner ?

On était si tranquille [transmission 2016]

Chorégraphie
Réalisation
Année de réalisation
2016
Année de création
1998

Extrait remonté par l’Atelier d’improvisation (Alès), responsable artistique Geneviève Choukroun, dans le cadre de Danse en amateur et répertoire (2015)

Chorégraphie Daniel Larrieu
Extrait remonté par l’Atelier d’improvisation (Alès), responsable artistique Geneviève Choukroun, dans le cadre de Danse en amateur et répertoire (2015)

Le groupe
Initié par Marie-Claire Gelly-Aubaret,
 l’Atelier d’improvisation, qui a vu le jour en 2008,
se compose de dix danseurs.
 C’est Geneviève Choukroun qui le pilote en ayant comme objectif large de développer la danse contemporaine 
sur Alès et sa région. L’improvisation
 est au cœur de la pratique des participants qui possèdent un bagage technique varié : Martha Graham, jazz, contemporain, classique… Des rencontres régulières avec des artistes sont programmées comme Marc Vincent, Alain Joule, Françoise Leick et Daniel Dobbels… L’association a aussi tissé des liens avec Le Cratère, scène nationale d’Alès, qui l’accueille dans son studio de danse. 

Le projet
Pour les neuf interprètes du groupe, 
le spectacle « On était si tranquille »  de Daniel Larrieu, transmis par Anne Laurent, s’est imposé pour son travail d’écriture dans l’espace
et sa façon de valoriser des présences humaines simples et directes. L’éventail des séquences ainsi que des musiques 
ont semblé une approche aisée et subtile de la danse contemporaine. L’extrait choisi, dans le casting originel de quinze danseurs, a été adapté sans que l’articulation de formes courtes (solo, duos, trios) soit bouleversée. Une grande attention 
a été portée à l’essence du geste de Daniel Larrieu, dont le groupe a lu des écrits, sa relation à la musique, sa qualité 
dans l’intention du mouvement et son traitement dans l’espace. 

Le chorégraphe
Personnalité de premier plan de la danse contemporaine française des années 80, Daniel Larrieu, d’abord danseur chez Anne-Marie Reynaud après avoir fait des études d’horticulture, crée sa compagnie Astrakan en 1982. Il impose vite un geste fluide et graphique qui sait faire vibrer l’espace entre les corps en les branchant sur la même prise énergétique. Directeur du Centre chorégraphique national de Tours de 1994 à 2002, il a chorégraphié une trentaine de pièces dont « Waterproof »(1986), pièce aquatique, « On était 
si tranquille »(1998), « Cenizas »(2001)… Il est désormais chorégraphe indépendant et se partage entre des projets de danse, de théâtre, d’installation et de pédagogie. Il a été administrateur délégué à la danse à la SACD. 

GÉNÉRIQUE

Création les 5 et 6 juin 1998 au Centre international
des Congrès Vinci à Tours, dans le cadre du festival Le Choré-graphique 98, présenté du 12 au 19 juillet 1998 au Cloître des Carmes à Avignon, dans
le cadre du Festival d’Avignon
Pièce pour 15 danseurs Jérôme Andrieu, Rachel Bénitah, Christine Bombal, Alain Buffard, Isabelle Celer, Olivier Clargé, Cyrill Davy, Frédéric Gies, Christophe Ives, Anne Laurent, Bettina Masson, Judith Perron, Laurence Rondoni, José Valls et Gabriela Montès
Musique « Magnificat »de Bach et Pedro Vargas

Mise à jour juin 2016

Chorégraphie
Réalisation
Année de réalisation
2016
Année de création
1998
Musique
« Magnificat « de Bach et Pedro Vargas

Autre collaboration
Extrait remonté par l’Atelier d’improvisation (Alès), responsable artistique Geneviève Choukroun, dans le cadre de Danse en amateur et répertoire (2015) – Transmission Anne Laurent
Interprétation
Clothilde Roullier, Magalie Outtier, Arlette Maes, Laure Viala, Éric Borgne, Sylvie Fournier, Léa Belval, Clarisse Nivon, Julia Ribeiro
Ajouter à la playlist