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Les sept planches de la ruse
A l’origine de ce spectacle, l’envie d’Aurélien Bory d’aller rencontrer des artistes de la ville de Dalian en Chine, qui ont le niveau technique le plus haut du monde.
A l’origine de ce spectacle, l’envie d’Aurélien Bory d’aller rencontrer des artistes de la ville de Dalian en Chine, qui ont le niveau technique le plus haut du monde. Il a eu envie de composer avec eux un conte visuel contemporain qui s’inspire d’un jeu qui date de l’antiquité chinoise : le tangram ou, en chinois «qi qiao ban», ce qui signifie « les sept planches de la ruse ». C’est un jeu solitaire, basé sur l’assemblage de sept éléments géométriques : cinq triangles de trois tailles différentes, un carré, un parallélogramme, qui doivent former un grand carré. Les éléments de ce jeu de construction sont manœuvrés par seize personnes qui les dressent, y grimpent, s’y insèrent, en épousant leurs formes changeantes, se glissent dans un cube creux, construisent des édifices improbables et éphémères.
Source : Programme de salle Maison de la Danse