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Les cahiers retrouvés de Nina Vyroubova
La petite Russe de Meudon devenue étoile de l’opéra de Paris note alors dans des cahiers d’écolière les dessins des chorégraphies créées pour elle. A partir de ces cahiers, Dominique Delouche emmène Nina Vyroubova dans un voyage à travers ses rôles.
Elle fut la muse de Serge Lifar, des ballets du marquis de Cuevas, de Roland Petit. La petite Russe de Meudon devenue étoile de l’opéra de Paris note alors dans des cahiers d’écolière les dessins des chorégraphies créées pour elle. A partir de ces cahiers, Dominique Delouche emmène Nina Vyroubova dans un voyage à travers ses rôles.
Tout au long du film, les images d’archives du Spectre de la danse ou de Gisellealternent avec celles de Nina Vyroubova aujourd’hui, transmettant ses rôles à de jeunes danseuses. On la suit également à Saint-Pétersbourg, un voyage sentimental qui la mène de la datcha de son grand-père à l’Académie du ballet russe où elle est acclamée. Ses souvenirs ponctuent les images d’anecdotes, notamment lorsqu’elle évoque son arrivée à l’opéra de Paris. Serge Lifar lui avait demandé de venir remplacer « l’irremplaçable » Yvette Chauviré et, du jour au lendemain, Nina Vyroubova s’est retrouvée propulsée dans le tout Paris des années 40. Un conte de fées moderne qui fait encore briller les yeux de la danseuse.
Source : Fabienne Arvers