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La Habanera
« Carmen » de Bizet inspire à la jeune chorégraphe Mié Coquempot une variation ludique sur les drames de la passion. Des femmes en robe rouge se substituent les unes aux autres, dansant les multiples facettes de l’amour.
Carmen de Bizet inspire à la jeune chorégraphe Mié Coquempot une variation ludique sur les drames de la passion. Des femmes en robe rouge se substituent les unes aux autres, dansant les multiples facettes de l’amour. Musique latine et regards des passants accompagnent cette déambulation urbaine.
Ce pourrait être Aix, où la chorégraphe a travaillé, mais aussi, pourquoi pas, Buenos Aires ou La Havane. En premier lieu, La Habanera s’attache à décrire les ambiances des villes du Sud, des espaces où viennent s’inscrire les trajectoires des danseuses. Une grande avenue, un hall d’hôtel, le marché et les boutiques animées d’une rue commerçante sont le décor de cette chorégraphie. Le montage inclut au mouvement la réaction des spectateurs, surpris. Une manière de filmer qui rend présent le travail de composition et d’improvisation qui anime la danse.
Source : Irène Filiberti