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Jaillissements, Isadora Duncan et Auguste Rodin

Année de réalisation
1990

Elisabeth Schwartz évoque Isadora Duncan, la danseuse aux pieds nus, dans un jeu de correspondances entre la danse et l’oeuvre de Rodin. En de longs plans-séquences, la caméra capte les solos successifs de la danseuse.

Jaillissements – Isadora Duncan et Auguste Rodin

Elisabeth Schwartz évoque Isadora Duncan, la danseuse aux pieds nus, dans un jeu de correspondances entre la danse et l’oeuvre de Rodin. En de longs plans-séquences, la caméra capte les solos successifs de la danseuse qui rencontre parfois des moniteurs vidéo intégrés au décor. Ils diffusent des images de la « Porte de l’enfer » et d’autres oeuvres du sculpteur. Le cadre est large, à distance du corps, et permet d’apprécier la gigantesque toile de fond peinte qui dramatise la chorégraphie et souligne son lyrisme de façon abstraite. Elisabeth Schwartz a reconstitué de nombreux solos d’Isadora Duncan. Elle mêle à cet hommage des compositions plus personnelles et un duo final avec le danseur et chorégraphe Dominique Petit.

(Patrick Bossatti)

Générique

1990, 30′, couleur, adaptation

Conception : Elisabeth Schwartz

Musique : Patrick Marcland

Réalisation : Raoul Sangla

Production : Arcanal, La Sept, Ina, Lieurac productions

Participation : ministère de la Culture (DMD, DDF), Sacem, musée d’Orsay

Contact

CNC Images de la culture : idc@cnc.fr

Année de réalisation
1990
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