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Icare
Icare raconte l’être danse, l’être emprisonné dans sa pesanteur terrestre et sa condition impérieuse, l’homme dans son animalité qu’il chérit et rejette, l’homme oiseau,l’homme rapace, l’homme sirène, l’homme clown, l’homme acrobate.
Icare raconte l’être danse, l’être emprisonné dans sa pesanteur terrestre et sa condition impérieuse, l’homme dans son animalité qu’il chérit et rejette, l’homme oiseau — évidemment on y pense — l’homme rapace, l’homme sirène, l’homme clown, l’homme acrobate, face au risque, face au vide, face à l’habit, à son histoire et finalement confronté à la sagesse.
Si le spectacle laisse une sensation de plénitude c’est qu’il y a dans Icare une liberté inconnue sur terre. La recherche absolue de la liberté. La liberté de l’âme pourrait-on dire.
Le danseur comme trait d’union entre le ciel et la terre. Élévation par l’esprit, pesanteur par le corps parce que nous sommes accroché au sol, irrémédiablement.
Multitude d’émotions que la peau transpire.
Au-delà du mythe archaïque la danse tente de sortir du quotidien, petit, pour entrer dans l’abyssal de nos aspirations.
Source : Claude Brumachon
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