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Garota de Ipanema
Dans cette pièce, le mouvement n’est pas dans la danse, mais dans les situations et la façon de les mettre en images. Regards, retrouvailles, disputes, ce que les deux interprètes donnent à voir en priorité sont ces petits moments où la vie échappe.
Garota de Ipanema met en scène une femme à sa fenêtre, puis un homme dans une rue déserte. Le mouvement n’est pas dans la danse, mais dans les situations et la façon de les mettre en images. Regards, retrouvailles, disputes, ce que les deux interprètes donnent à voir en priorité sont ces petits moments où la vie échappe.
Multiples incidents qui provoquent le désordre des corps et alimentent la matière chorégraphique de Serge Ricci. L’évocation de la célèbre chanson brésilienne donne ici lieu à une histoire de désir racontée sur le mode furtif. Brièveté des élans, heurts des séparations, le chorégraphe de la compagnie Mi-Octobre joue avec l’attendu et l’imprévu, une forme de composition souvent présente dans son travail.
Source : Irène Filiberti
A partir d’un principe simple, dans la continuité de la collection Une Danse, le temps d’une chanson, Patrice Nezan propose une série de sept films courts qui réunissent chacun un chorégraphe et un réalisateur. Dans ces « chorégra-films », la musique imprime sa durée et son atmosphère à chacun des univers chorégraphiques. Voyages dans des mondes éphémères dont l’étrangeté tient autant à la qualité des images qu’aux situations imaginées.
Sont compris : Adesso basta !, Besame Mucho, Daïté, Erè mèla mèla, Garota de Ipanema, La Habanera, Ya Rayah.