Ce contenu contient des scènes pouvant choquer un public non averti.
Souhaitez-vous tout de même le visionner ?
Vaguely light
Hervé Robbe
Vague
Hervé Robbe
So long as baby…love and songs will be
Hervé Robbe
Une maison sur la colline
Hervé Robbe
Un appartement en centre ville
Hervé Robbe
Wave 03
Hervé Robbe
Vingt plus un
Hervé Robbe
Rew
Hervé Robbe
Polaroïd
Hervé Robbe
Permis de construire
Hervé Robbe
Origami
Hervé Robbe
Navigations
Hervé Robbe
Mutating score
Hervé Robbe
In between – Yellow suite
Hervé Robbe
Des horizons perdus
Hervé Robbe
Bye see you next … no more
Hervé Robbe
Avis de démolition
Hervé Robbe
Flowing along
Hervé Robbe
Id
Hervé Robbe
2.Id
Hervé Robbe
Initiales
Hervé Robbe
V.O Projet
Hervé Robbe
Histoire courte des enfants de la place Hébert
Hervé Robbe
Made of
Hervé Robbe
Assaï Vivace
Hervé Robbe
De humani corporis fabrica
Hervé Robbe
En espérant l’eclipse
Hervé Robbe
Appassionata
Hervé Robbe
Antichambre repetita
Hervé Robbe
Factory
Hervé Robbe
Là on y danse
Hervé Robbe
Factory
Hervé Robbe
Next Days
Hervé Robbe
Un Terrain Encore Vague
Hervé Robbe
Slogans
Hervé Robbe
Danse de 4 (Teaser)
Hervé Robbe
Danse de 20 (Teaser)
Hervé Robbe
Remembrance 3 (2012-2019)
Hervé Robbe
Remembrance 1 (1987/1998)
Hervé Robbe
Remembrance 2 (1999-2011)
Hervé Robbe
Danse de 6
Hervé Robbe
A new landscape – teaser
Hervé Robbe
Des horizons perdus
« Le paysage commence avec une épreuve du corps et des sens, avec le récit, immédiat ou différé, de cette épreuve. Traverser un jardin, c’est toujours un voyage, une suite de pas, de gestes, d’empreintes, d’odeurs et de sons… »
« Le paysage commence avec une épreuve du corps et des sens, avec le récit, immédiat ou différé, de cette épreuve. Traverser un jardin, c’est toujours un voyage, une suite de pas, de gestes, d’empreintes, d’odeurs et de sons ; c’est une chorégraphie qui fabrique le paysage où l’on inscrit son histoire dans l’histoire des autres.
Choisir le jardin comme espace de référence pour la danse et pour la conception d’un nouveau spectacle, c’est renouer avec ses composantes ultimes, qui sont celles d’un espace d’actions pour l’homme, une vision du monde, un espace d’interférences entre les mouvements de la nature et son occupation. C’est aussi constater et retrouver les analogies entre son histoire et celle du spectacle, car le jardin est une expérience de mise en scène, une tentative de sublimation, dont les ambitions rejoignent celles de l’œuvre d’art.
Cette chorégraphie se compose de visions successives transformées et renouvelées par la dynamique de la scénographie et la diversité d’univers environnementaux, suscités par une création vidéo et musicale. Si la musique et l’image interrogent l’imagerie du jardin et revisitent les étapes de son évolution, c’est afin d’inventer de nouveaux espaces créatifs et critiques, offerts à la présence de la danse. En résonance avec la stimulation des espaces sonores et visuels, le corps dansant s’imagine une nouvelle présence et glisse dans différents registres corporels et compositionnels.
Ainsi en traversant la référence, un nouveau type de projet et de vécu se créent. Car il s’agit bien autour du thème du jardin de mettre en perspective et de réinterroger l’idée de la représentation. Convoquer la vidéo, la musique et la danse à la transposition scénique d’un projet de jardin, c’est bien sûr questionner la nature de leurs relations,
imaginer de nouveaux dialogues et expérimenter leurs capacités à proposer de nouvelles écritures. »
Source : Hervé Robbe