Numeridanse is available in English.
Would you like to switch language?

Compositeur, arrangeur

Après une formation au CIM (Centre d’Information Musicale), Ecole de jazz et de musiques actuelles, Jean-Baptiste Sabiani suit une formation de cinq ans à l’American School of Modern Music de Paris, de 1990 à 1995, avec le piano comme spécialisation. Au cours de sa carrière, il a réalisé des compositions, arrangements et enregistrements dans les domaines du jazz, du théâtre et du cinéma.

Jusqu’en 1998, il pratique la composition et l’arrangement en jazz tout en se consacrant à l’accompagnement d’artistes de la nouvelle chanson française (Mathieu Boogaerts, Dani, Alain Champfort…).
En 1998, il se forme à la composition et à l’orchestration classique.

En 2009 il collabore avec la chorégraphe Julie Trouverie pour les créations musicales de ses pièces Mysterious skin et Au loup ! Conte de jeunes filles en brume. C’est à l’occasion de cette première entrée dans la création chorégraphique qu’il rencontre Christian et François Ben Aïm, et compose la musique de leur pièce Résistance au droit (2010). Par la suite, il compose et/ou arrange les créations musicales des pièces Valse en trois temps (2010), L’ogresse des archives et son chien (2011), La forêt ébouriffée (2013), Karma (2013).

En 2014, pour La légèreté des tempêtes, les chorégraphes lui commandent la création musicale en amont des répétitions. Cette démarche lui offre la possibilité de laisser libre cours à toute son imagination et de s’emparer pleinement de la thématique.

Au théâtre, il fait la composition, les enregistrements et les arrangements du spectacle Adèle a ses raisons puis Dis leur que la vérité est belle de Jacques Hadjaj.

Dans le domaine cinématographique, il compose, enregistre et fait les arrangements du film La Troisième partie du monde d’Eric Forestier (2009, fiction), Les Bonobos d’Alain Tixier (2010, fiction), La Révélation des pyramides de Patrice Pouillard (2011, fiction), compose les musiques additionnelles du film Zim & co de Pierre Jolivet (2005, fiction), et les créations musicales de plusieurs courts-métrages.

Patissier, Laurent

Créateur lumières

Laurent Patissier se consacre depuis 20 ans à la conception d’éclairages pour le spectacle vivant. Il met en lumière des pièces de théâtre, de danse, des marionnettes, des concerts et des expositions.

Laurent Patissier rencontre les chorégraphes Christian et François Ben Aïm en 1998, pour une première collaboration sur leur pièce L’homme rapaillé, à partir de 2004 et son travail sur la pièce Carcasses, un oeil pour deux, il créé les lumières des pièces de la compagnie.

Pour la création chorégraphique, Laurent Patissier a dernièrement créé les lumières des pièces Il Progetto Indispensabile de Ana Ventura (2010), Rock’n Roll Suicide (2010) et Obstinés, lambeaux d’images (2013) de Andréa Sitter, Phorm (2014) des chorégraphes hip-hop David Colas et Santiago.

Pour des compagnies théâtrales il créé les lumières des pièces La Permanence des choses, un Essai sur l’inquiétude (2009) de Sandrine Roche, Avis de Messe Marionettique (2010) de Luc Laporte, Paysage Intérieur Brut de Marie Dilasser, mise en scène par Christophe Cagnolari.

Laurent Patissier a également collaboré avec Brice Coupey, Franck II Louise, Etienne Pommeret, Valérie Grail, Pisani et Nathalie Rafal, Merlin Nyakam, Ma Fu Liang, La Danse du Chien, Agnès Sighicelli, François Boursier, Vincent Dussart, Jérôme Pisani et Nathalie Rafal…).

En 2014, puis pour les éditions suivantes, il met en lumières le Festival Sidération pour le Centre National d’Etudes Spatiales (CNES) et éclaire pour les Nuits Blanches, la sculpture Fracas d’Emmanuelle Ducros, exposée au Centre d’Art Contemporain de l’Abbaye de Maubuisson.

Il aime également assez photographier des clarinettes et claironner des photographies (mais pas toujours).

Ajouter à la playlist