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Titulaire d’un Bachelor of Arts en psychologie, Steven Cohen crée pendant dix ans des oeuvres plastiques à Johannesburg, qui font l’objet de nombreuses expositions internationales « but me I’m setting pretty » (Luxembourg 1998), « distinguished identities » (New York 2000), « personal affects » (New York 2004), « bitter suite » (Johannesburg 1993), « selfish portrait » (Pretoria 2001).

Dans son travail de performeur, Steven Cohen ne se produit pas uniquement sur scène et dans des galeries d’art mais aussi, sans invitation, dans des lieux publics. Artiste blanc, homosexuel et juif, il utilise son corps pour créer un « art vivant » qui renvoie à la sculpture, à la danse contemporaine,   au travestissement et à la performance.

Avec son partenaire, le danseur-chorégraphe ELU, il produit une série de brèves pièces, « crawling, flying » 1998, « kudu dance » 2000, « chandelier » 2002, qui vrillent les contradictions de l’Afrique du Sud post-apartheid. Dans leurs interventions, la paire fait du funambulisme sur les limites des rapports de races, comme des performances de genre.

Leur projet « Living art », une série d’interventions publiques provocantes, a reçu le premier prix du Vita Art Award en Afrique du Sud. Steven Cohen et Elu se sont produits en Afrique du Sud, au Luxembourg, en Allemagne, à Madagascar, au Canada, en France, en Estonie et aux Etats-Unis.

En 2002 et 2003, Steven Cohen et Elu ont été invités par Régine Chopinot pour vivre deux années de résidence au Ballet Atlantique à la Rochelle.

Source : dossier de presse, Festival d’Automne à Paris, 2006

Plus d’informations

Site de Steven Cohen

Dernière mise à jour : octobre 2012

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