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La vie et la mort
La vie et la mort, solo de Youssouf Diarra.
Dans cette création chorégraphique, j’explore le cycle perpétuel de la vie et de la mort, deux forces indissociables qui façonnent notre existence. La danse devient ici un moyen d’interroger les multiples facettes de cette dualité : la naissance et la croissance, la déchéance et la disparition, et tout ce qui se trouve entre ces deux pôles.
À travers un langage corporel sensible et nuancé, les mouvements du danseur évoque le souffle de la vie qui s’installe, les rythmes et les pulsations qui l’animent, mais aussi les silences, les pauses et les effondrements qui annoncent la fin. Chaque geste incarne une tension entre la vitalité et l’épuisement, la force et la fragilité. Le corps est tantôt élan, tantôt chute, tantôt ancré dans la terre, tantôt aspiré vers l’invisible.
Cette œuvre cherche aussi à interroger notre rapport à la mort dans une société qui la refoule, qui la cache. Comment accepter cette réalité inévitable, l’apprivoiser ? La mort est-elle une fin ou un passage ? En convoquant des récits universels et intimes, je m’inspire de traditions où la mort est célébrée comme un retour aux sources, où la fin d’une vie est vue comme une transformation plutôt que comme une perte.
Cette création a été faite dans le cadre de la formation « Corps pour XXIIe siècle – Acte III » de Don Sen Folo.
La vie et la mort, solo de Youssouf Diarra.
Dans cette création chorégraphique, j’explore le cycle perpétuel de la vie et de la mort, deux forces indissociables qui façonnent notre existence. La danse devient ici un moyen d’interroger les multiples facettes de cette dualité : la naissance et la croissance, la déchéance et la disparition, et tout ce qui se trouve entre ces deux pôles.
À travers un langage corporel sensible et nuancé, les mouvements du danseur évoque le souffle de la vie qui s’installe, les rythmes et les pulsations qui l’animent, mais aussi les silences, les pauses et les effondrements qui annoncent la fin. Chaque geste incarne une tension entre la vitalité et l’épuisement, la force et la fragilité. Le corps est tantôt élan, tantôt chute, tantôt ancré dans la terre, tantôt aspiré vers l’invisible.
Cette œuvre cherche aussi à interroger notre rapport à la mort dans une société qui la refoule, qui la cache. Comment accepter cette réalité inévitable, l’apprivoiser ? La mort est-elle une fin ou un passage ? En convoquant des récits universels et intimes, je m’inspire de traditions où la mort est célébrée comme un retour aux sources, où la fin d’une vie est vue comme une transformation plutôt que comme une perte.
Cette création a été faite dans le cadre de la formation « Corps pour XXIIe siècle – Acte III » de Don Sen Folo.