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Vanguardia jonda
Avec cette œuvre et sans se départir d’une vision actuelle, Andrés Marín nous plonge dans l’ambiance des cafés concerts de Séville entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle.
En prenant comme point de départ la liberté d’expression qui caractérise l’ensemble de sa carrière, en concevant le spectacle comme un laboratoire de création et en arborant la rupture comme un drapeau, Andrés Marín passe en revue les « palos » les plus importants du flamenco. Ce dialogue, qui puise ses racines dans la tradition, conduit à la liberté d’expression la plus absolue en réinventant les codes et l’esprit de chaque style pour en faire un art vivant.
Beaucoup de choses ont été dites sur ce bailaor qualifié par la critique de « Picasso, Miró ou Nijinski du flamenco ». Andrés Marín est en définitive un bailaor audacieux qui a le regard fixé sur la recherche permanente et une ouverture continue, pour un flamenco ouvert et démocratique.
Source : Site de Andrés Marín
En savoir plus : www.andresmarin.es