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[TEASER] - COUP DE GRÂCE

Quand certains dansent, d’autres tuent

Année de réalisation
2019
Année de création
2019

Quand certains dansent d’autres tuent.

Nul n’a oublié ce qu’il faisait le soir du 13 novembre 2015, des  millions de souvenirs gravés par l’effroi des attentats de Paris : nous  sortions de scène, heureux… Confusion des émotions.

Sous un titre en forme d’oxymore, COUP DE GRÂCE,  sept superbes interprètes s’élancent dans une exploration, entre sombre  et lumière, des chemins empruntés pour atteindre ce que serait la  grâce.

Dans le paysage abasourdi d’une actualité contemporaine marquée par  la violence de masse, les destructions iconoclastes et les  bouleversements de fond, Michel Kelemenis explore l’appropriation  ambivalente et l’écartèlement sémantique de ce terme de « grâce ».

Au plateau, le chorégraphe parie sur la force d’un assemblage  d’images et de gestes incompatibles, évoquant les chemins empruntés pour  accéder à cet état de sublimation. Sur une étude plastique de  la lascivité s’agrègent les répercutions gestuelles et spatiales de  sentiments et d’actions liés à la terreur : panique, effroi, fuite  éperdue, vacillement, effondrement… Que la musique d’Angelos Liaros  place sous une même intensité.

Comme chacun témoin impuissant des déflagrations que connaît le corps  social de l’humanité, le chorégraphe reconsidère une de ses questions  les plus obsédantes : la grâce peut-elle émerger de la disgrâce ?

Quand certains dansent d’autres tuent.

Nul n’a oublié ce qu’il faisait le soir du 13 novembre 2015, des  millions de souvenirs gravés par l’effroi des attentats de Paris : nous  sortions de scène, heureux… Confusion des émotions.

Sous un titre en forme d’oxymore, COUP DE GRÂCE,  sept superbes interprètes s’élancent dans une exploration, entre sombre  et lumière, des chemins empruntés pour atteindre ce que serait la  grâce.

Dans le paysage abasourdi d’une actualité contemporaine marquée par  la violence de masse, les destructions iconoclastes et les  bouleversements de fond, Michel Kelemenis explore l’appropriation  ambivalente et l’écartèlement sémantique de ce terme de « grâce ».

Au plateau, le chorégraphe parie sur la force d’un assemblage  d’images et de gestes incompatibles, évoquant les chemins empruntés pour  accéder à cet état de sublimation. Sur une étude plastique de  la lascivité s’agrègent les répercutions gestuelles et spatiales de  sentiments et d’actions liés à la terreur : panique, effroi, fuite  éperdue, vacillement, effondrement… Que la musique d’Angelos Liaros  place sous une même intensité.

Comme chacun témoin impuissant des déflagrations que connaît le corps  social de l’humanité, le chorégraphe reconsidère une de ses questions  les plus obsédantes : la grâce peut-elle émerger de la disgrâce ?

Chorégraphie
Réalisation
Année de réalisation
2019
Année de création
2019
Durée
1h00
Lumières
Jean-Bastien Nehr
Musique originale
Angelos Liaros-Copola
Interprétation
Luc Benard, Émilie Cornillot, Maxime Gomard, Aurore Indaburu, Cécile Robin-Prévallée, Anthony Roques, Pierre Théoleyre
Scénographie
Michel Kelemenis
Production de l'œuvre chorégraphique
Kelemenis&cie, Théâtre Durance – scène conventionnée d’intérêt national de Château- Arnoux-Saint-Auban
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