Numeridanse is available in English.
Would you like to switch language?
Attention, contenu sensible.
Ce contenu contient des scènes pouvant choquer un public non averti.
Souhaitez-vous tout de même le visionner ?

La chanson des vieux amants

Chorégraphie
Année de réalisation
1997

Filmée en plan large dans un décor minimum, Madira Sardancourt se jette dans le flot lyrique des paroles de Jacques Brel et toute sa danse irradie cette offrande d’amour que rien, semble-t-il ne saurait consumer.

Filmée en plan large dans un décor minimum – des flammes, qui donnent aussi le seul éclairage à la scène –, Madira Sardancourt se jette dans le flot lyrique des paroles de Jacques Brel et toute sa danse irradie cette offrande d’amour que rien, semble-t-il ne saurait consumer.

Voilà bien une chanson à laquelle il n’était pas évident de se frotter. L’univers de Brel a tant pénétré notre imaginaire, si bien coloré et sublimé les expériences de chacun, qu’il n’était sans doute pas simple d’en proposer une image. Ce qui explique peut-être le parti pris simple et sans prétention de la chorégraphe et interprète, et du réalisateur. Comme son prénom d’emprunt l’indique, cette danseuse française pratique la danse indienne. Elle utilise le langage gestuel fortement codifié d’un art traditionnel pour exprimer, ici, les mots d’amour éternels. 

Source : Fabienne Arvers

Chorégraphie
Année de réalisation
1997
Direction artistique / Conception
Pascal Magnin
Musique
Jacques Brel
Interprétation
Madira Sardancourt
Production de l'œuvre vidéo
Heure d’été productions, Qwazi Qwazi film, Arte, CNC, ministère de la Culture (DMD), ministère des Affaires étrangères, Procirep
Ajouter à la playlist