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Les Beaux Jours
Les Beaux Jours, solo inspiré par l’œuvre du peintre Balthus, exige la précision des lignes et des poses, la qualité du mouvement pour passer d’un tableau à l’autre, d’une femme à l’autre.
Les Beaux Jours, solo inspiré par l’œuvre de Balthus, exige la précision des lignes et des poses, la qualité du mouvement pour passer d’un tableau à l’autre, d’une femme à l’autre. Trente-deux tableaux de Balthus sont habités et traversés par l’interprète formant l’ensemble de la partition chorégraphique.
Pièce méditative et sculpturale, le solo s’attache à traduire une atmosphère. Sans décor, il parie sur une incarnation de l’esthétique balthusienne. Très vite, le motif est oublié et seule survit une aventure du corps aux prises avec ses lenteurs, ses appuis, ses relances. Si Balthus est « trahi », c’est au profit d’une danse qui accepte de n’avoir de comptes à rendre qu’à elle-même.