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Polaroïd
« Sur un écran, des images de ville défilent, au sol Hervé Robbe développe une danse essentielle, d’une extrême complexité. Elle questionne la légitimité d’une traversée, l’affirmation d’un parcours. «
« … Sur un écran, des images de ville défilent, au sol Hervé Robbe développe une danse essentielle, d’une extrême complexité. Elle questionne la légitimité d’une traversée, l’affirmation d’un parcours. Création vidéo, réalisée par Aldo Lee, et danse : les écritures juxtaposées laissent la place à l’intuition, à la force émotionnelle, sans censure. On assiste alors à une déambulation sensible. Un quelque chose qui tient de la vague. Déploiement dans l’espace et le temps, d’une matière organique surgie depuis l’histoire des corps. Le mouvement est ici un lieu de mémoire… »
Irène Filiberti
« Donner une image d’un réel, d’un quotidien, qui fut une part de soi-même.Comme une déambulation dans cet espace là, et las de retrouver des traces, des strates, d’une mémoire enfouie.La violence et la douleur des lieux, leur dépérissement, leur désintégration, comme une fatale disparition de son histoire.C’est un peu faire le ménage avec la mort, faire le ménage tout simplement.Des gestes qui tenteraient vainement de retrouver la substance de ces ombres enfouies, de retrouver les pièces d’un puzzle insoluble. Des fragments de couleurs, de formes, de matières qui se creusent, s’entremêlent, puis recevoir les confidences d’un rêveur.Puis au réveil réinventer son présent, retrouver son calme après la tristesse du deuil.”
Hervé Robbe
Ce spectacle autobiographique a été transmis à l’automne 2001 à un interprète de la compagnie Shlomi Tuizer.